Il faut qu’on distingue les quatre notions différentes: le trac, l’intimidation, la timidité et la phobie sociale. C’est normale pour chaque être humain d’avoir une dose de timidité. Cela peut apparaître si on est amoureux, si on connait un group nouveau des personnes ou si on doit parler avant des centaines de personnes. La timidité est un problème quand elle devient une souffrance qui nous empèche à se comporter normalement dans notre vie quotidienne.
Le trac intervient à cause d’un certain événement qu’on doit soutenir: un concert, donner une conférence ou parler à la télévision. C’est un sentiment que beaucoup de gens connaissent et qui disparait une fois avec le commencement de l’action.
Quand on est intimidé, on nous sent paralysés, on rougit et on à l’impression de ne pas être nous-mêmes. On voudrait fuir de cette situation qu’on ressent à cause d’une personne qu’on aime ou d’un groupe qu’on vient de connaitre. C’est une chose normale, même si elle peut devenir très intense.
La timidité est un trait de caractère et pas une maladie. Quand-même, parfois, elle nous fait sentir mal et c’est pour cela qu’on doit la traiter avec de la sérosité.
La phobie sociale est un cas pathologique, marqué par d’attaques de paniques, qui sont plus intense que le danger réel. C’est une maladie qui doit être traitée par les spécialistes.
Il faut savoir que la timidité, à n’importe quel niveau, n’est pas une maladie, car le timide veut avoir contact avec l’autre personne, mais ça lui prend plus de temps que pour les autre gens. Si la timidité influence notre vie par des choses comme : on a peu d’ami, une vie sexuelle pauvre et une carrière qui ne reflète pas nos qualités, on doit demander une aide spécialisée. Quand même, si on arrive très rarement aux attaques de paniques et si notre angoisse est toujours diminuée quand on est avec nos amis, on pourrait nous mêmes lutter contre la timidité. C’est une barrière très fragile entre les cas pathologiques et ceux normaux, donc si on ne sait pas exactement où on se situe, c’est mieux d’aller demander au spécialiste.